Au même titre que les grosses PME et les ETI, les TPE et petites PME sont confrontées à un environnement qui nécessite un suivi financier précis de leurs activités. La conjoncture économique, la concurrence exacerbée, les services achats exigeant des prix toujours plus serrés, imposent aux entreprises, quelle que soit leur taille, un pilotage en quasi temps réel de leur rentabilité et de leur trésorerie.
Même s’ils pensent qu’ils n’en ont pas les moyens, les dirigeants des petites entreprises ont bien conscience de la nécessité d’être accompagné dans leurs prises de décisions stratégiques et opérationnelles, par un financier expérimenté.
L’expérience et l’expertise d’un directeur administratif et financier, ou DAF, seront utiles au dirigeant, tant pour le pilotage de la rentabilité de l’activité et la gestion de la trésorerie, que sur les questions de fiscalité des entreprises et de fiscalité personnelle, si le chef d’entreprise est l’actionnaire majoritaire. Ce nouvel acteur pourra également assurer l’interface avec les autres conseils de l’entreprise (banquier, assureur, expert-comptable, avocat…) et déchargera ainsi le dirigeant de la quasi-totalité des tâches administratives quotidiennes, extrêmement chronophages.
Les 3 domaines dans lesquels le directeur financier peut très rapidement permettre à l’entreprise de rentabiliser son intervention sont les suivants :
- Le pilotage de la rentabilité de la société, via la mise en place rapide de 3 outils très simples 1/ un budget mensualisé incluant le chiffre d’affaires mais aussi les coûts de fonctionnement et la masse salariale, 2/ une estimation mensuelle de l’atterrissage de fin d’année et 3/ un tableau de bord avec les principaux indicateurs dont le point mort, qui permet en coup d’œil d’identifier le seuil de rentabilité de l’entreprise. Dans un deuxième temps, il sera aussi possible de mettre en place des tableaux de suivi de la rentabilité des produits, affaires ou clients.
- Le suivi et la gestion de la trésorerie. Il s’agit du « nerf de la guerre » pour les petites entreprises. Le niveau de trésorerie doit autoriser le financement du développement commercial et du recrutement ainsi que l’investissement, 3 éléments indispensables au développement de l’entreprise elle-même. Le directeur financier aidera le chef d’entreprise à actionner tous les leviers qui permettront d’assurer un niveau de trésorerie suffisant (délais de règlement clients, optimisation du BFR, facilités de caisse, dette bancaire, Dailly, affacturage…) et à mettre en place des outils de suivi.
- La fiscalité. Le directeur financier, en collaboration avec l’expert-comptable et/ou l’avocat, accompagnera le chef d’entreprise dans la correcte utilisation des options fiscales et sociales à disposition des entreprises (CICE, CIR, JEI, zones franches…) et des dirigeants, en fonction de leur statut (salarié ou TNS).
L’accompagnement du dirigeant par un financier d’entreprise expérimenté est souvent incontournable. Son profil de gestionnaire vient compléter les compétences « métier » et commerciales du chef d’entreprise. Les différents outils qu’il mettra en place pour le suivi de la rentabilité et la gestion de la trésorerie offriront au dirigeant une visibilité indispensable au pilotage de la performance économique de son entreprise.
Il est aujourd’hui possible pour un dirigeant de TPE, ou de petite PME, de bénéficier des services d’un directeur financier expérimenté pour un coût supportable par sa structure, grâce à notre offre « DAF externalisé à temps partagé ».