Une start-up, ou jeune pousse, est par essence une entreprise innovante à fort potentiel de croissance nécessitant des investissements importants pour financer son développement.
L’idée est là, le concept est créé, les clients répondent à l’appel et pourtant bon nombre de ces entreprises finit par mettre la clé sous la porte.
La croissance rapide ne va pas toujours de pair avec des bénéfices importants et une génération immédiate de trésorerie. D’après une étude de CBinsight, 29% des défaillances de start-up sont liés à des problématiques de trésorerie. Pour répondre à ce type de problématique, il est souvent nécessaire de solliciter des investisseurs pour assurer la croissance. Dans ce contexte, après une levée de fonds, le pilotage du « cash-burn » devient rapidement une priorité pour les dirigeants.
Comme le rappelle Jean-Paul Vermès, président de la Chambre de commerce et d’Industrie de Paris Ile de France « Grandir à tout prix ne sert à rien si on ne sécurise pas un minimum son entreprise ! ».
Pour assurer la pérennité de l’entreprise et rassurer les investisseurs, il faut souvent revenir aux basiques et mettre en place une gestion financière rigoureuse permettant de faire des prévisionnels de trésorerie réalistes, de décliner financièrement les plans stratégiques, de faire des budgets, du contrôle budgétaire etc.
Ces analyses et prévisions peuvent être faites en interne. Mais, lorsque la compétence spécifique n’existe pas en interne et que la trésorerie disponible ne permet pas d’embaucher un Directeur Administratif et Financier, le DAF externalisé peut être la solution. Un expert qui partage son temps entre plusieurs entreprises et permet ainsi d’apporter la compétence financière indispensable.